La même menace était adressée par Don Alvaros, père de Don Juan dans Le Festin de pierre de Dorimond :
Tu te trompes, mon fils, et ton coeur obstiné,
Ravalé par le vice autant que suborné,
Recevra tôt ou tard ce qu’on doit à son vice,
Et le courroux du ciel apprête son supplice.
(I, 4)