Dans la première scène de La Suite du menteur (1645) de Pierre Corneille, le héros décrit ainsi la manière dont les sergents se sont emparés de son argent :
Lors, suivant du métier le serment solennel,
Mon argent fut pour eux le premier criminel
Et s’en étant saisi aux premières approches
Ces messieurs pour prison lui donnèrent leur poche.
(v. 124-128)