« Quand l’amour à vos yeux offre un choix agréable,
Jeunes beautés, laissez-vous enflammer »
La Princesse d’Elide, Premier intermède, sc. 1
Dans le Ballet des Plaisirs (1655) de Benserade, Vénus chantait de même :
Jeunes coeurs, croyez-moi, laissez-vous enflammer,
Tôt ou tard il faut aimer,
Et c’est en vain qu’on façonne :
Tout cède à mon pouvoir, tout fléchit sous mes lois
(Seconde Partie, « Récit de Vénus », dans Oeuvres de M. de Benserade, p. 130)
Ce thème est décliné à plusieurs reprises dans la pièces (« Toute la terre reconnaît sa puissance« , « Aimez, aimables bergères« )
